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« Dans cette vie, dans cette expérience,
il est important de garder l’esprit bien ouvert, pour repérer ces informations qui m’attendent pour m’emmener un peu plus près de cette finalité existentielle que je veux retrouver. Ce sont autant de signes qui me renseignent, qui me disent si je suis sur le bon chemin ou pas.
Quelle est ma finalité ?
A cet instant, c’est d’avancer, ne serait-ce qu’un pas de plus. »
« Les tribulations d’un inconscient incompris »

Mosaïque 6 & 7 :

Liens vers différents articles. C’est un cheminement de pensée, c’est une progression dans une manière d’appréhender le monde et les perceptions que j’en ai. Tous ces articles que j’ai écrit sont liés les uns aux autres dans une logique cohérente. Cette phase des mosaïques vient illustrer ce cheminement.

Mosaïque 5 :

1 Quern est un de ces jeux rares et passionnants. Il y a peu de jeux vidéo que j’apprécie suffisamment pour les jouer jusqu’au bout sans lâcher, et encore moins que j’aime vraiment. Quern fait définitivement parti de cette dernière catégorie. Il est beau, complexe, avec une histoire cohérente et intéressante.

Le niveau de détail de l’environnement présenté, ainsi que des puzzles qui sont présentés est impressionnant et contribue directement à rendre ce jeu particulièrement addictif. Il m’a fallu des pages et des pages de notes et deux douzaines de captures d’écran pour arriver au bout de toutes ces énigmes, un vrai régal.

Quern, Undying thoughts par Zadbox Entertainment

2 Nos mondes virtuels.

Cette idée de réalité virtuelle est un concept qui a été au cœur de certains de mes écrits, notamment dans « Les tribulations d’un inconscient incompris ». Depuis très jeune, j’ai toujours été fasciné par ces mondes créés de toutes pièces et dans lesquels on peut se plonger dans des aventures extraordinaires. Dans mon post précédent, je mentionnais Quern qui est le dernier que j’ai eu le plaisir de visiter, mais je fais surtout référence aux univers de Myst (Cyan Worlds). Ce sont cinq opus et une version en ligne (MOULA, Myst Online URU live again) qui ont marqué profondément mon esprit et mon imagination.

Mon avatar sur cette image est celle de mon personnage dans URU et que je peux donc aller visiter régulièrement. Ce sont des jeux sans violence, sans agressivité, sans rien de dégradant, et qui se déroulent dans des mondes fantastiques, remplis de machineries créées par d’anciennes et étranges civilisations. On apprend à penser en dehors de notre boite habituelle, à envisager de nouvelles manières de voir les choses, et ça fait du bien. On passe quelques heures à se racler le frontal et à profiter de ce que l’imagination humaine peut créer de plus beau et étrange.

Les mondes virtuels sont aussi immersifs parce que le notre n’est pas très différent, en tout cas dans la relation que notre cerveau entretient avec. Nous traitons toutes ces réalités exactement de la même manière, alors il y a quelque chose d’assez amusant dans l’idée d’aller se plonger dans un monde virtuel pour changer d’environnement pendant quelques heures.

3 Imaginal.

La première fois que j’ai vraiment abordé la question de l’Imaginal, c’était dans mon livre « Visions chamaniques, l’Ayahuasca et l’Imaginal ». C’est en quelque sorte la pierre angulaire de la compréhension de ce qu’est l’expérience chamanique. C’est une notion ancienne, un pan de notre philosophie que l’on avait oublié dans un recoin de l’histoire et qui vient naturellement nous compléter, non seulement pour nous permettre d’appréhender ces expériences, mais surtout pour vivre au quotidien.

L’Imaginal existe en nous autant qu’autour de nous, c’est ce que l’on perçoit lorsque l’on regarde de l’autre côté du miroir, mais en réussissant à délaisser nos organes des sens sensibles et en nous reconnectant à cet autre organe de perception qu’est notre imagination agente. Celle-ci n’a pas disparu, mais nous sommes devenus tellement habitués et conditionnés à ne nous reposer que sur nos organes des sens sensibles et intelligibles (le mental et l’intellect), que l’on a oublié que la perception imaginale ne se fait pas de la même manière, que l’on a oublié comment sentir cette imagination agente.

Dans certaines cultures où l’on a toujours conservé ce mode de perception actif, c’est-à-dire en conservant la réalité imaginale comme faisant partie du quotidien, on peut alors percevoir cette réalité de manière naturelle et presque facile, au même titre que l’on percevrait un léger changement de température dans une pièce. Mais trop souvent, nous allons chercher ces perceptions avec notre mental et l’on en vient à interpréter des projections ou des archétypes comme étant des manifestations imaginales, ce qui mène inévitablement à des problématiques de synchronisations subjectives, voire de détournement ou même d’excès de spiritualité.

https://www.sebastiencazaudehore.fr/visions-chamaniques-limaginal-et-layahuasca/

4 Jaly

Jaly Limousi est une artiste peintre qui a participé à la couverture de mon livre « L’apologie de la mort ». Depuis l’instant où j’ai commencé à l’écrire, je voulais avoir une représentation de « L’île des morts », le fameux tableau d’Arnold Böcklin. C’est une série d’œuvre qui m’a toujours fasciné du fait de cet univers que chaque version laissait percevoir. Mon seul problème, c’est que ce sont des œuvres dont on ne peut pas utiliser les images gratuitement. Cela parait étrange sachant que ce sont des tableaux anciens, mais les choses sont ainsi faites que c’est la photographie officielle qui doit être utilisée.

Cependant, les choses ont fait que Jaly a été mise sur mon chemin et m’a proposé de faire une version personnelle de ce tableau… c’était une opportunité inespérée ! Car non seulement j’allais pouvoir avoir l’île des morts en couverture de mon livre, mais j’allais pouvoir l’adapter subtilement pour qu’elle soit même en résonnance avec la thématique du livre.

Cette île est donc plus lumineuse, presque accueillante d’une certaine manière, et elle devient un refuge lorsque l’on échappe à la tourmente qui occupe la mer au large de l’île.

https://www.sebastiencazaudehore.fr/apologie-de-la-mort/

5 Le coin des artistes

Les artistes qui sont représentés dans mes différents livres appartiennent à toutes les époques et tous les genres. C’est vrai qu’aujourd’hui, du fait d’un accès facile et privilégié à des banques d’images gigantesques, on serait tenté d’opter pour des illustrations dépeignant directement les propos contenus dans le livre, mais j’ai toujours préféré, autant que possible, d’en revenir à des œuvres d’artistes qui ont cherché à exprimer quelque chose d’important, au-delà de ce qu’ils représentaient visuellement. Ce sont aussi ces messages que je suis allé chercher lorsque je choisissais comment illustrer mes livres ou leurs couvertures.

6 YOAZ

YoAz est un artiste de l’ère numérique, c’est un explorateur des Univers visuels qu’il décompose et recompose pour créer des visions complexes, fourmillant de détails portant le sens profond d’un tout, d’une unité fondamentale.

Ses œuvres puisent leur inspiration dans différentes sources, allant du Street art à l’Art primitif, en passant par le Cubisme et le Pop art. Elles explorent d’autres réalités, des réalités intérieures et émotionnelles, des réalités imaginaires et imaginales, tout en transcendant les limites de l’œil pour rejoindre une vision plus universelle.

C’est de cette vision qu’est née la collaboration pour ce livre. Dans ces œuvres, comme dans l’imaginal, le visuel n’a plus les limites conventionnelles que l’on retrouve dans notre réalité illusoire. Chacune de ces œuvres est un morceau de voyage intérieur, un espace que l’on explore, une vision d’Ayahuasca.

Durant des années, j’ai essayé d’imaginer à quoi pourraient ressembler ces visions chamaniques dans la réalité, parfois trop terne, d’un état de conscience ordinaire, et la découverte de l’univers de YoAz a été une révélation. Chaque détail, chaque sens visible ou caché, chaque œuvre me replongeait dans ces domaines infinis et fantastiques.

https://www.behance.net/yoaz

Mosaïque IV :

1

Révélez votre potentiel. C’est l’une des bases les plus importante de mon travail d’écriture, permettre à chacun d’apprendre à prendre sa véritable place. Je ne cherche pas à vous dire comment ou pourquoi faire les choses, mais à proposer des clefs qui peuvent être utilisées pour atteindre ces objectifs.

Parfois ces clefs sont des questions et des interrogations qui sont levées afin d’étendre les perspectives que l’on n’aurait pas forcément considérées jusqu’alors. L’idée est d’inciter à réfléchir hors de sa zone de confort pour essayer de voir jusqu’où cela peut nous mener.

Je me suis posé chacune de ces questions à un moment de ma vie, et certaines m’ont accompagné pendant des années avant de prendre leur sens dans mon propre contexte de vie. Alors que cela soit des questions ou des clefs, ces informations viennent comme autant d’opportunités d’ouvrir son regard et son esprit.

2

Pour moi, l’écriture est un cheminement, une quête de questions toujours d’une meilleure qualité. Je ne suis jamais à la recherche de réponse, connaissant l’inutilité de ce processus, mais à toujours découvrir ce que ce questionnement peut venir ouvrir ou révéler. Chaque livre est une recherche de soi et un partage que l’on fait avec d’autres. C’est une mise à nue d’une partie de mon cerveau, non pas dans ses structures ou circonvolutions, cela n’intéresserait probablement pas grand monde, mais dans sa perspective et sa vision du monde. C’est un partage dans le sens où justement nos visions diffèrent et que c’est dans cette différence que nait l’importance de ce questionnement, de cette recherche. Paradoxalement, ce sont nos différences qui nous rapprochent et qui nous permettent de trouver un territoire commun, une base pour ce partage.

Alors chaque livre est une question particulière visant à amener l’exploration d’un univers particulier et d’ouvrir un champ de pensées dans lequel on pourra tester nos différences.

3

Le Centre DEVAS a une histoire qui s’est construite en parallèle de mon activité d’écriture. Il a commencé en Equateur sous la forme d’une fondation sous l’égide du ministère de la Culture et du patrimoine équatorien. Pendant plusieurs années, après mon apprentissage chamanique auprès d’un chamane à Puyo, j’ai travaillé avec Ambre à accueillir des personnes du monde entier pour des retraites et des cérémonies d’Ayahuasca. Pour moi personnellement, ça a été une période d’exploration, d’étude et de découvertes sur le monde du chamanisme, l’Imaginal et la relation que l’on a avec cet univers.

Aujourd’hui, le Centre DEVAS est toujours en existence, sous une autre forme en France, en attente de prendre sa nouvelle place dans un projet commun.

https://centre-devas.fr

4

« 27 clefs pour révéler votre potentiel » a été mon premier livre publié (Editions Bussière). Il n’était pas parti pour devenir un livre, mais un recueil d’outils. A cette époque, je passais de nombreuses nuits sous la Maloca à animer des cérémonies d’Ayahuasca, et durant chaque Limpieza, je passais environ une heure avec chaque participant dans une échange sur diverses problématiques. J’avais à ma disposition un arsenal d’outils tirés de mon expérience personnelle, de la PNL, du décodage biologique, de mes études d’anthropobiologue et autres.

Après quelques années à travailler ainsi, je me suis dit que ça serait une bonne idée de compiler ces outils pour avoir un guide à portée de la main, pour les coucher sur papier et ne pas en perdre la trace. Certains de ces outils n’étaient utilisés que de manière très occasionnelle, me donnant parfois l’impression que j’oubliais qu’ils étaient là, disponibles. L’idée de ce guide était aussi de permettre de tous les garder à portée de mon esprit, bien frais en mémoire. Lorsque j’ai avancé dans cette compilation, je me suis dit que cela ressemblait de plus en plus à un petit livre, et sans même tellement y croire, je l’ai envoyé à différents éditeurs. Je n’ai pas eu à attendre très longtemps, la semaine suivante, Bussière manifestait son intérêt, et c’est comme cela que tout à commencé.

5

Sur les dernières années, mon écriture a évolué. Evidemment me diriez-vous, mais je dis cela dans le sens où ce sont surtout les sujets que j’aborde qui ont changé. Je suis progressivement passé d’un travail de recherche sur la question du chamanisme et de l’ayahuasca, que cela soit la place qu’ils occupent, leurs fonctionnements, mais aussi sur des sujets plus spécifiques comme ce que je proposais dans « Visions chamaniques », à des questionnements qui sont nés de cette recherche.

Il y a eu des expériences que j’ai eu besoin d’explorer au travers de l’écriture, des questions qui ont été soulevées et qui appelaient à exister pleinement, et des découvertes que j’avais faites et que je désirais partager avec d’autres. Cette notion de partage est essentielle pour moi, car les idées ne valent quelque chose que si elles circulent et qu’elles sont confrontées à d’autres visions et perspectives. C’est notamment pour cela que j’ai ouvert la page du forum sur Discord, comme un lieu ouvert à tous pour justement échanger et partager des idées et des pensées.

6

“L’apologie de la mort” a été un livre important d’un point de vue personnel. Au-delà du travail de recherche et de la réflexion sur cette vaste question philosophique de la place de la mort dans la vie des gens, cela s’inscrivait dans le cadre d’une expérience personnelle, et même intime : ma petite mort de l’Ayahuasca. Il s’agit d’un passage très particulier dans l’apprentissage chamanique et par lequel tous ou presque semblent passer. Comme tout le monde, j’avais longtemps pensé avoir maintes fois vécu cette petite mort durant les cérémonies d’Ayahuasca, notamment celles d’une grande intensité, seulement pour comprendre un jour à quel point je me trompais. Cette idée de la petite mort comme quelque chose de psychologiquement intéressant, une mort de l’égo simple est très loin de la réalité proposée par la plante.

Pour écrire ce livre, j’ai donc commencé par la fin, par le dernier chapitre, celui où je relate mon expérience, parce que je voulais qu’elle soit libre de toute l’influence qui aurait pu découler de mon travail de recherche et de mes réflexions sur le sujet. Ce n’est qu’après avoir tout écrit que je me suis enfin penché sur ce chapitre, pour voir comment il venait s’intégrer dans tout cela.

Mosaïque III :

Sortie 2022 (1/3)
« Décodez le décodage biologique » aux éditions Quintessence

Sortie 2022 (2/3)
Rituels chamaniques” sortira courant 2022 aux éditions Véga (groupe Guy Trédaniel)

Sortie 2022 (3/3)
« Eduquez votre cerveau » aux éditions Leduc.
Un nouveau livre qui sortira dans le courant 2022 aux éditions Leduc, et aussi une formation en vidéo proposée sur UDEMY accessible pour tous en cliquant sur le lien.

Mosaïque II :

Ulysse Treilhard est le compagnon avec lequel je suis entré dans le monde de l’écriture, c’est avec lui qui j’ai appris à aimer écrire. Avant je savais écrire, écrire quelques centaines de pages pour une thèse ou autre n’était pas un problème, mais je n’avais pas ce plaisir à écrire. « La tourmente du Serpent » est sorti en librairies il y a bientôt 1 ans, mais cela fait beaucoup plus longtemps que je l’ai écrit, bientôt 10 ans.

Cette découverte de l’écriture a été un cheminement, un moyen de me découvrir moi-même, d’apprendre à me connaitre, comme j’avais appris à connaitre Ulysse. Parfois j’ai l’impression d’avoir eu plusieurs vies, ou en tout cas plusieurs chapitres clairement marqués, avec leurs histoires propres, leurs découvertes, leurs joies et leurs difficultés. Chaque livre que j’ai écrit vient retracer ces étapes, ces découvertes, ces joies et difficultés.

Plusieurs mondes, mais un seul voyage. C’est définitivement la phrase qui vient résumer tout cela. Quelle que soit la manière que l’on « choisit » d’aborder ce que la vie met sur notre chemin, le tout est de le faire en conscience que tout cela fait partie du même but que l’on poursuit, celui consistant à réunir notre égo et notre essence, à accompagner notre égo pour qu’il se détruise et se reconstruise pour se rapprocher de la structure de l’essence.

On ne fait jamais tomber le masque, on essaye juste de faire en sorte qu’il nous ressemble le plus possible lorsque l’on est sur ce cheminement. A l’inverse, nos peurs nous éloignent de nous-mêmes et nous replongent dans la survie jusqu’à ce que nous ne nous ressemblions plus, et que l’on ne se reconnaisse plus. Alors on chemine. Parfois on trébuche ou on tombe, mais on se relève, plus ou moins facilement pour aller vers un pas de plus.

C’est dans cette idée que tous ces chapitres se sont inscrits. Changer cet égo pour changer ma manière de voir le monde, changer ma réalité. La manière dont on voit et regarde le monde et les personnes qui nous entourent dépend directement du regard que l’on porte sur soi. Chacun de ces livres, chacun de ces mondes, est une fenêtre sur soi, un moyen de se découvrir et d’envisager certaines facettes que l’on n’aurait peut-être pas considéré jusqu’alors.

Le chemin est long c’est vrai, mais il ne sera jamais aussi long que pour celui qui n’avance pas. Chaque pas demande une certaine dose de courage, celle qu’il faut pour se faire face à soi-même ou face à l’inconnu, mais c’est là que les plus grandes découvertes peuvent être faites. A chaque pas, on prend le risque de vivre un peu plus intensément, mais sans garantie que l’expérience que l’on croise sera plaisante, juste qu’elle viendra nous enrichir. 

Mosaïque I :

Quelques citations :

Un petit teaser d’un livre à venir prochainement :
« Si obtenir quelque chose de toujours mieux est un but en soi, on crée des attentes qui dépendront d’éléments extérieurs, ce qui ouvre la porte à ces décalages, tandis que si ces besoins et envies restent cantonnés à leur juste place en tant que moyens et non en tant que finalités, alors plus rien ne dépendra d’eux. »

« C’est tout le paradoxe de la peur, selon ce que l’on en fait, elle peut nous forcer à l’inertie et à risquer de mourir sans jamais avoir vécu, ou elle peut devenir le moteur du changement, de l’action et du développement. » (Les tribulations d’un inconscient incompris)

« Notre conscience est un organe des sens informationnel généré par l’inconscient, mais c’est une si petite partie de notre information propre, si restreinte et limitée dans ses capacités à percevoir la réalité dans sa globalité, que cela donne l’impression de regarder le monde par le trou d’une serrure.  » (Les tribulations d’un inconscient incompris)

« Être sur son chemin » ne veut rien dire, nous sommes toujours sur notre chemin, que l’on aime ou pas où il nous a emmené. (Les tribulations d’un inconscient incompris)


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