C’est tout le paradoxe de la peur, selon ce que l’on en fait, elle peut nous forcer à l’inertie et à risquer de mourir sans jamais avoir vécu, ou elle peut devenir le moteur du changement, de l’action et du développement.
This is the paradox of fear, depending on what we do with it, it can force us into inertia and we risk dying without ever having lived, or it can become a force for change, action and development.
« L’apologie de la mort »
Sébastien Cazaudehore